Volvo V60
A l'image de la berline, dont les lignes plutôt fuselées font la part belle au dynamisme, la variante break, baptisée V60 et non plus V70, arbore des volumes seyants et équilibrés. Pavillon fuyant, porte-à-faux contenus, ceinture de caisse ascendante et allure élancée : cette déclinaison appartient davantage à la catégorie des breaks « style de vie », à la lisière du premium, qu'aux robustes déménageurs suédois taillés comme des briques qui ont fait la notoriété de la marque.
Si ce nouveau V60, construit sur un empattement de 2,77m et qui s'étend sur une longueur de 4,62m, soigne son style, les capacités de chargement ne marquent logiquement aucun record, avec un compartiment arrière d'un volume médiocre de 430 litres. En contrepartie, la cinématique 40/20/40, de la banquette arrière, qui ménage un plancher plat, sauvegarde une once de modularité.
Art de vivre à la suédoise
De l'aveu même de Volvo, le V60, sculpté pour suggérer le dynamisme, le raffinement et le plaisir de conduite, n'aurait d'ailleurs pas vocation à rivaliser avec les breaks classiques, laissant les basses besognes de déménagement au plus fonctionnel V70. Cette volonté de sophistication s'étend à l'habitacle, qui laisse clairement transparaitre ses velléités premium par sa présentation et sa débauche d'équipements technologiques dédiés au confort et à la sécurité.
D'emblée, le V60 offrira un nouveau bloc 4 cylindres essence 2.0 GTDi à injection directe de 203 chevaux, délivrant un couple de 320 Nm dès 1.750 tr/min. Celui-ci se déclinera en entrée de gamme sous la forme de deux 1.6 GTDi développant des puissances respectives de 150 ch et 180 ch. L'offre diesel sera constituée par le D5 bi-turbo de 205 chevaux et le nouveau 2.0 de 163 chevaux. A terme, une sobre version DRIVe du quatre-cylindres Diesel 1.6 de 115 chevaux permettra de limiter les émissions de CO2 à 115 g/km.
Source : Yahoo