FRANCIS CABREL - Comme Eux :
FRANCIS CABREL - Comme Eux :
Il rêvait de noircir des pages
D'écrire des choses nouvelles
Elle, aurait peint des paysages
Et joué du violoncelle
À s'aimer toujours davantage
Ils ont trouvé naturel
Elle, le cambouis des garages
Lui, les produits de vaiselle
Elle posait ses doigts sur la carte
Toujours du côté chaleur
De temps en temps faudra qu'on parte
S'embrasser ailleurs
Elle ne voit pas le temps qui passe
Ils prennent tellement à cur
Ces fins de semaine sur place
Autour d'un bouquet de fleurs...
Jamais de cris, de problèmes
Tout le monde peut voir comme ils s'aiment
Ni double fond, ni double jeu
Rien que de la lisse surface
Que du collant double face
Fasse le ciel qu'on soit comme eux
Comme eux
Ils rêvent d'un chambre tranquille
De quelques jouets au milieu
Qu'importe l'endroit ou le style
Le centre-ville ou la banlieue
De temps en temps faudra qu'on parte
Un jour, il écrira un peu
Elle sait où elle a rangé la carte
Pour les jours où ça ira mieux
Jamais de cris, de problèmes
Tout le monde peut voir comme ils s'aiment
Ni double fond, ni double jeu
Rien que de la lisse surface
Que du collant double face
Fasse le ciel qu'on soit comme eux
Comme eux
Source : Parolesmania