Né le 07 janvier 1958 a Goberi sous-préfecture LIDA Kouassi moise est issus d’une famille pauvre de 14 enfants dont hélas 06 sont restes en vie. Diplômé d’étude germanique et docteur en science politique, option défense et stratégie générale de l’université de Strasbourg en France. 

Ensuite, il fait un stage de deux ans dans l’un des grands laboratoires militaire de défense et de sécurité à Hambourg en Allemagne. En 1986 il devient enseignant des langues germaniques a l’université d’Abidjan cocody et milite au SYNARES. Plus tard il adhère au FPI de lg en septembre 1989 en tant que secrétaire général adjoint national à l’organisation et fait son baptême de feu en 1990 en tant que premier responsable charge de l’organisation du meeting de la rentrée ¨politique du FPI a man, qui fut un succès. En aout, il fut arrêté tout comme son leadeur lg et ses collègues et camarades lors de la marche de protestation organisée par le FPI, les partis alliés et la société civile, le 18 février 1992.

I) LA MACA OU LA PRISON DU DESTIN

Arrive à la MACA, alors que tous ses collègues et camarades étaient affectés au bâtiment des assimiles (réserve aux hommes politiques et cadres) lui fut transféré probablement par mépris au bâtiment b (le tombeau) qui est réservé aux grands délinquants, parce que les autorités militaires n’appréciaient pas ses questions pertinentes et très gênantes. Deux semaines plus tard, survint un incident entre Laurent GBAGBO et le régisseur de la MACA l’accusant d’avoir mis deux espions comme ses codétenus. Pour clore cet incident, il est demande a lg de choisir deux personnes en remplacement des espions démasqués. C’est ainsi qu’il porte son choix sur LIDA Kouassi Moïse et Khalifa TOURE.
Par ailleurs, sur les six mois passes en prison, LIDA Kouassi Moïse a le privilège d’être dans l’intimité de Laurent GBAGBO. En prison, pour tuer le temps, Laurent GBAGBO choisit des camarades pour des exposes. C’est dans ce sens qu’un jour, l’un des amis de Laurent GBAGBO, lui ayant offert un livre publie en 1992 par Michel Albert et intitule ‘’ capitalisme contre capitalisme’’ et après l’avoir lu le ¨proposa a LIDA Kouassi Moïse en ces termes : ‘’ toi qui enseigne à tes étudiants les sujets concernant les langues allemandes, tu peux sans doute nous faire un expose sur le sujet de ce livre. LIDA Kouassi Moïse fit alors l’expose sur le thème : ‘’l’économie sociale de marche’’. Ainsi, sans être économiste, il a influencé la doctrine économique du FPI. En mars 1993, il est nommé secrétaire général charge de la sécurité et de l’organisation (son) des partis. L’un de ses amis lui dit un jour en ces termes : ‘’Laurent GBAGBO dit que tu as un grand talent. ‘’ Il répond : je me suis culture rationné a ses cotes car il reste un homme de grande culture qui prend plaisir à former ses collaborateurs. Il fit responsabilise dans le programme de gouvernement du FPI du chapitre relatif à la défense et a la sécurité de 1995 à 2000.
Du reste, il avait en charge la vie des structures du parti, l’organisation et l’animation des fédérations, le formatage des sections et le renouvellement des comités de bases. Il a pu dès lors concevoir et mettre en place au siège du FPI le tout premier fichier des structures de bases. 
En plus, LIDA Kouassi Moïse était aussi charge de planifier et d’établir le programme des tournées de Laurent GBAGBO, organiser ses contacts avec les populations et surtout de veiller à sa sécurité avant, pendant et après les tournées ; mais aussi préparer et assurer la mise en œuvre des grandes manifestations du partis etc…
Autant dire sans risque de se tromper qu’il était à la fois la cheville ouvrière du parti et une sorte d’aide de camp pour son président. Il est l’une des rares personnes membre du secrétariat général du FPI et des collaborateurs intimes de Laurent GBAGBO à avoir organisé son mariage à la mairie d’OURAGAHIO et sa célébration le même jour à MAMA, le village natal du président, ce fut le 23 juillet 1994.

III-LA FORCE DE CARACTERE

Pendant la transition militaire du CNSP (Conseil National de Salut Public) dirige par le général GUEI robert du 24 décembre 1999 au 24 octobre 2ooo, le RDR refuse que lui et BOGA Doudou soit nommé ministre contrairement aux propositions de Laurent GBAGBO. Néanmoins il nomme conseille aux affaires scolaires et universitaires. Sur conseil d’Albert Mabri TOIKEUSE, des ministres Balla KEITA et Danielle BONI Clavery et surtout de sa femme doudou rose GUEI, le général GUEI décide d’être candidat aux élections présidentielles de 2000. Pour cela, il prépare l’invalidation de la candidature de Laurent GBAGBO. Informe de cette mascarade, LIDA Kouassi Moïse contraint le général GUEI à valider la candidature de Laurent GBAGBO à travers les commandants Moassi GRENA et Oulata GAOUDI. Par conséquent, LIDA Kouassi Moïse est demi de ses fonctions de conseiller par le général GUEI. Après quoi, le général donne instruction ferme à son homme de main le lieutenant Boka YAPI qui est à la tête d’une unité de l’armée appelée brigade rouge d’éliminer physiquement Laurent GBAGBO et au besoin ses proches. Informe, LIDA Kouassi Moïse porte alors cette énième manigance a la connaissance de la direction du FPI, tout en proposant d’être désormais le seul à déterminer et à connaitre la cachette du président Laurent GBAGBO et cette disposition inclut aussi son épouse Simone.
En effet, du début du mois de septembre au 24 octobre 2000 seul LIDA Kouassi Moïse savait ou était le chef Laurent GBAGBO. Il est nommé après l’accession du président Laurent GBAGBO au pouvoir comme ministre d’état, ministre de la défense et de la protection civile le 27 octobre 2000 et élu député de Marcory le 06 décembre 2000. la nuit du 07 au 08 janvier 200, alors que le président Laurent GBAGBO se reposait a MAMA, son régime fait face a coup d’état manque dirige par le sergent-chef IB dont les hommes attaquent les camps d’Agban, la résidence du chef de l’état, la RTI ainsi que plusieurs autres lieux stratégiques. Dans ces conditions, le ministre de la défense LIDA Kouassi Moïse utilise hors mi les éléments de la gendarmerie et de l’armée aux ordres du colonel Guiai bi POIN et du général BOMBET Dennis, deux brillants officiers ABEHI jean noël et SEKA seka Anselme. Deux semaines plus tard, il nomme ABEHI comme son aide camp et SEKA seka comme celui de la première dame pour s’être brillamment illustré dans les combats tandis que le chef d’état-major DOUE Mathias était aussi introuvable qu’injoignable.

IV_ LE PREMIER DES RESISTANTS IVOIRIENS

La fameuse nuit du 18 au 19 septembre 2002, les domiciles des ministres d’états BOGA Doudou et de LIDA Kouassi Moïse sont attaqués à l’arme lourde. LIDA Kouassi Moïse a eu plus de chance que son grand frère BOGA Doudou qui a été froidement assassiné. Ainsi donc, il arrive à 7h 50 mn sous escorte militaire à la résidence du chef de l’état dans une atmosphère tendue et confuse. Il y-là, le chef de cabinet KOUYO Tea narcisse et trois jeunes médecins que sont le docteur BIDI, le docteur TABLEY et le docteur ZEZE ainsi qu’une soixante de militaires. Installe dans le bureau de la première dame, il tente en vain de joindre le premier ministre qui était en déplacement à Yamoussoukro et le ministre de l’intérieur ainsi que le chef qui était introuvable et injoignable. Il n’est secret pour personne que le président de la république était en visite officiel en Italie. Dix minutes après il reçoit un coup de fil de KOUKA le commandant de la BAE lui annonçant la mort de son grand frère et collègue le ministre d’état BOGA doudou. le ministre d’état LIDA Kouassi Moïse répond : « arrangez-vous à trouver une ambulance ou tout autre moyen, mais emmenez la dépouille du ministre d’état a la résidence du président de la république ou je suis. c4est du reste, en présence du ministre TAGRO Désire le corps inerte, crible de balles et ensanglante est arrivé. Les soldats présents dans la cour fondent en larme et crient leur douleur. LIDA Kouassi Moïse se rend des lors compte que dieu faisait de lui la seule personnalité capable de défendre le régime sans céder a l’émotion il réagit: la mission d’un soldat est de défendre le peuple et les institutions de la république vous êtes des soldats, vous n’estes pas des facettes! On tue un ministre d’état et vous pleurez ! Ça c’est un acte de guerre ! Si vous n’estes pas capable de faire la guerre déposez vos armes et fouetter moi le camp! Car moi, j’ai besoin des soldats capables de faire la guerre. Suite à ces propos, les soldats se ressaisissent, reprennent leurs armes, l’air très grave et déterminé. à cet égard, le ministre de la défense contact toutes les unités combattantes de l’armée, de la gendarmerie et de la police, la riposte est vigoureuse et très sanglante. Quelques minutes plus tard arrive le ministre de l’économie et des finances Bohoun BOUABRE et KADET Bertin. Après quoi arrive l’ambassadeur de France en côte d’ivoire M. Renaud VIGNAL qui dit : M. les ministres d’état, le président Chirac me charge de vous dire que les soldats français sont en route pour l’ambassade de l’Allemagne pour assurer la sécurité de m. Ouattara et le maitre en sureté. Vous savez bien que s’il arrivait malheur à M. Ouattara le pays s’embraserait et la France ne pourra rien y changer. Aussi, M. le ministre d’état vous voilà par la force des choses dans la position d’une chef d’état ! Et vous pourrez y demeurer avec le soutien sans faille du président Chirac ! Ayant parfaitement saisit les propos du diplomate français, la réaction de LIDA Kouassi Moïse se fait instantanément hostile : excellence, si telle est la mission qui vous amène ici, la cote d’ivoire a un président qui est Laurent GBAGBO au cas où vous l’auriez oublie. Vous gagnerez à appliquer las accords de défenses qui lient nos deux pays. Faute de quoi vous feriez mieux de repartir tout de suite par la même porte, vous avez échoué, sortez, sortez immédiatement de mon bureau. L’ambassadeur repart visiblement contrarie et honteux. En faisant venir le premier ministre pascal Affi N’guessan de Yamoussoukro à Abidjan et surtout en prenant des dispositions sécuritaires pour le retour triomphale du président Laurent GBAGBO, LIDA Kouassi Moïse venait de signer sa mort politique devant le maitre français.

V LE TEMPS DES COUPS TORDUS

À 16 h LIDA Kouassi Moïse reçoit un coup de fil du président Laurent GBAGBO depuis l’aéroport de Rome : moise, je sais combien de fois tu te bats seul alors je suis à l’aéroport je rentre immédiatement. LIDA Kouassi Moïse répond : « M. le président, a l5 heures qu’il est, nous maitrisons certes la situation a peu près dans toute la ville d’Abidjan ; mais vous connaissez l’environnement de notre aéroport en quittant Rome à cette heure-ci, vous risquez certainement d’arriver à 22heures! Personne ne pourra garantir votre sécurité. Je vous en prie laissez-moi 24 heures les temps de faire le ratissage de toute la zone afin de vous permettre d’atterrir en toute quiétude. S’il vous plait M. le président, retournez dans votre hôtel, s’il vous plait, laissant moi du temps jusqu’à demain » KADET Bertin et les ministres Bohoun, désiré TAGRO qui ont suivent cette discussion approuve le point de vue du ministre LIDA Kouassi Moïse. ils donnent aussi tôt instruction au commandant des forces aériennes (le GATL) a qui il adjoint le concours des gendarmes commandos de Koumassi afin de sécuriser la piste d’atterrissage jusqu’à l’arrivée du chef de l’état le lendemain. Soulage et très heureux d’avoir grâce à Dieu évité le pire, mais surtout de revoir le président Laurent GBAGBO au commande du pays, il était très loin d’imaginer qu’il serait très bientôt indexe comme par la rumeur publique comme le traitre a l’administration GBAGBO. pour lui faire payer son refus de prendre le pouvoir, la DGSE(la direction générale de la sécurité extérieur entre en ligne de compte pour le tuer politiquement. ainsi, tous les medias français de gauche et de droite sont les premiers à l’accuse d’avoir assassiné son collègue de l’intérieur, d’avoir voulu prendre le pouvoir du président Laurent GBAGBO et d’avoir détourner 5milliards destines aux achats d’armes. dès cet instant, tout est mis en œuvre pour le diaboliser et le dépeindre comme un traitre a la république. au PDCI , on croit qu’il a aidé le général GUEI a renverser le président BEDIE le 24 décembre 1999 ; au RDR, on est persuadé qu’il est à l’origine du charnier de Yopougon et qu’il a tenté d’assassiner M. Dramane Ouattara le 19 septembre 2002 ; a L’UDPCI on le tient pour responsable de la mort tragique du Dr Balla KEITA et de celle non moins tragique du général GUEI ; en fin au FPI, on l’accuse d’avoir trahi le président Laurent GBAGBO et d’avoir fait exécuter son grand frère et collègue BOGA doudou. à l’évidence ça en est trop pour un seul individu. pour beaucoup de ses camarades du FPI et des autres formations politiques, toutes les rumeurs sont bonnes pour le discréditer a outrance et l’accabler dans l’opinion publique. le plus grand mal vint toujours ainsi de ces fausses accusations sans démonstration, ni preuves, ni commencement d’indices de quelques zèles qui ont affaiblit objectivement les lignes de défense de la nation en danger. certes, en refusant de prendre le pouvoir tel que demande par les autorités françaises, LIDA Kouassi Moïse en esprit avertis était préparé a une guerre psychologique de l’ennemi. mais, les tires amis sur les lignes arrières sont toujours plus désastreuse parce qu’inattendu. bien entendu, en tant que ministre de la défense, je ne crois pas qu’il soit exempte de tout reproche, mais la conscience intellectuelle veut qu’on l’accuse pour ce qu’il a fait et non pour ce qu’il ne pouvait pas faire. le samedi 12 octobre 2002 en présence du premier ministre pascal Affi N’guessan, de Mamadou KOULIBALY, d’Abou Dramane Sangaré et de KADET Bertin, le président visiblement peine annonce sa décide en terme : « Moïse je vais être obligé de te sacrifier, je n’emploie pas ces termes par coquetterie, je subis trop de pression de l’extérieur et de l’intérieur et il y a beaucoup de rumeurs a tout sujet ; je crains même pour ta sécurité. Je n’ai cependant rien à te reprocher, mieux je te félicite pour ta loyauté et ta fidélité mais surtout pour service rendu à la nation. C’est pourquoi je te garde comme ministre d’état, mais tu es désormais détaché auprès de moi à la présidence de la république. » La réponse de LIDA Kouassi Moïse est simple et sincère : « M. le président, je me considère depuis toujours comme en mission à vos cotes. Par conséquent, si vous estimez que ma mission a la défense est terminée je me tiens en réserve pour tout autre mission qu’il vous plaira de me confierez, je la ferai avec fidélité et dévouement. Je n’ai donc pas d’objection, sauf que je reste inquiet pour ma sécurité. » il est important de rappeler à toutes fins utiles que le lundi 7 octobre 2002 LIDA Kouassi Moïse a engagé la libération de Bouaké qui a échoué à cause de la contre-offensive des mercenaires français contre nos soldats qui étaient en plein ratissage, tuant trois et blessant sept. il devient l’homme à abattre pour tous ceux qui ont souvent pris ombrage de la haute estime que lui témoignait le président Laurent GBAGBO. Venu en exil tout comme la plus part des pro GBAGBO et de la LMP qui ont échappé au massacre, a la torture ou à la prison. Il est accusé d’être un espion de Dramane Ouattara alors qu’il est le seul des Ministres et DG pro GBAGBO non véhiculé, mais aussi sa dernière fille n’a pas été scolarisée faute de moyen. En contrario, les services secrets ivoiriens et français le trouvent dangereux pour la stabilité du régime d’Abidjan et cherchent les voies et moyens pour le neutraliser. C’est ainsi que le mercredi 6 juin 2012, LIDA Kouassi Moïse est enlevé a son domicile a Lomé par plus d’une trentaine de gendarmes togolais diriges par le colonel MASSINAH sous prétexte qu’il préparait un coup d’état contre le régime d’Abidjan. Extradé sur Abidjan, LIDA Kouassi Moïse est sauvagement torture pour lui arrache des sois disant aveux. Il fait un coma de plus d’une semaine après quoi, il est transféré au camp de déportation de Bouna ou il est dans la même cellule que le président Affi et Michel GBAGBO.

CONCLUSION

Au terme de ces écrits il me faut rappeler quelques réflexions et certitudes qui sont les miennes. Ainsi, à l’endroit de tous ceux qui, l’on considérés a tort comme un militariste incrottable pace qu’il plaidait pour un budget militaire conséquent pour la loi de programmation militaire mainte foi recale et bloque en conseil au profit du social. Je veux dire avec force que les relations humaines et, à plus forte raison, les inters étatique sont toujours dictées par la logique des intérêts, ces intérêts sont souvent égoïstes, divergents, voir contradictoires. Comme les hommes, les états aspirent à la domination et à l’hégémonie. Il faut comprendre des lors, que tout état a obligation de se prémunir contre les convoitises, le choc des intérêts, la volonté d’influence des autres états. C’est ici que l’armée épine dorsale de l’état prend toute son importance. en paraphrasant l’adage très célèbre de VEGESTE, un historien latin qui vécut au 16eme siècle : « si vis pacem, pa ra bellum » (si tu veux la paix, prépare la guerre.) à la fin de cette crise qui soldera par notre victoire certaine il nous faudra au lieu de 0.3% ou 0.6% décidé si nous sommes près a consentir 3%, 5%, 8% ou plus de notre PIB pour doter notre pays d’une armée moderne, performante et d’un système de défense et de sécurité dissuasif. C’est vrai que nous avons choisi la dévolution du pouvoir par la voie des urnes par l’élection qui assure la légitimité démocratique. Mais, notre jeune démocratie a besoin d’être protège contre tous les accès et autre forme d’extrémisme. Pour finir la cote d’ivoire défigurée et balafrée a besoin de tous ses fils, filles et amis pour une ferme reprise en main pour restaurer la démocratie, la paix durable et la stabilité. Tout ceci dépendra du prix et sacrifice que chacun attachera à la libération du pays. Bonne et heureuse année 2013 et joyeux anniversaire monsieur le ministre d’état, le sang de jésus christ te fortifie. Que le dieu de justice et des armées dans sa miséricorde et dans la plénitude de la splendeur de sa grâce te rend justice.

source : autre press

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  Cesar Italien Italiendepalerme · Université Félix Houphouët-Boigny

  les ivoiriens doivent savoir la verité car lida est un homme.

  Reply · 1 ·· January 18 at 11:09am
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  Cesar Italien Italiendepalerme · Université Félix Houphouët-Boigny

  pas de quoi c'est normal que les ivoiriens sachent la vérité sur cet admis de courage. que dieu le benisse.

  Reply ·· Sunday at 3:33am
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  Jean Marc Zohouri · Abidjan, Cote d'Ivoire

  Merci Lida

  Reply ·· Sunday at 6:32am
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  Oussou Hyacinthe · Top Commenter · Paris, France

  Concrètement l'Ivoirien a beneficié de quoi? De tous son courage son intelligence ses compétences? (1 université, 1hôpital, 1centre de formation, QUOI?) Je suis comme St Thomas et je veux voir : FHB avec a aboli le travail Forcé, créée La France Afrique qui sauve aujourd'hui le MALI et L'Afrique Des Islamistes. FHB avec HKB COMME Ministre des Finances ont fait des routes et Autoroute, des Ecoles des Universités...., construit des mosquées des cathédrales 1basilique des ponts DE GAULLE et Echangeurs des Bourses aux Elèves la coupe nationale du Progrès pour Encourager et récompenser les agriculteurs, HKB Des Chaines PAC Agripac,,...Que dois retenir de.Monsieur LIDA ,? L histoire est sévère et pas complaisente pour la postérité rafraichissez ma mémoire sur les biens collectifs que ces personnes vaillantes nous ont légués svp.

  Reply ·· 21 hours ago
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  Alain Georges Demine · Arizona State University

  Oussou Hyacinthe , tu es malhonnete jusqu'à l'echine. HKB est le premier voleur que FHB a decouvert dans son appareil c'etait en 1977 apres 11 ans de vol des finances de l'etat.Tu as oublié? vous racontez ce que vs ne savez pas. Ne confond pas aussi l'ere post coloniale où les français malgré ce qu'on sait d'eux se multipliaient en morceaux pour garantir leurs colonies. alors consultes les archives de la cote d'ivoire et tu sauras comment tout ce que tu cites sous l'ere houphouet ça été possible.Alors pour ta niaiserie , combien de temps lida est resté au poste dans l'administration ivoirienne pour le comparer a ces vieux voleurs come HKB et autres.Tu oublies que le malheur de la C.I vient de la legereté de la clique baoulé en homme comme en femme prete a ceder vos dessous pr etre enculer , votre race est la mere de toutes les calamités qui touchent notre bon pays. A savoir si tu es un? Race de viperes!

  Reply ·· 16 hours ago

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    Oussou Hyacinthe · Top Commenter · Paris, France

    L'IVOIRIEN N'EST PLUS DANS LES INSULTES NI INJURES.ON A VU NOS PARENTS MORTS BRÛLÉS OU JETÉS DS DES PUITS LES INJURES ET INSULTES ON SE LAVE AVEC . Merci pour les insultes ou injures. Malgré tes injures ce qui est facile et propre à ton Education Ma question demeure et j'attends que tu me dises s'il a laissé à la postérité même 1 dispensaire même s'il a fait 1 seconde au poste qu'il a occupé? La réponse est notoirement plus difficile pour ton savoir actuel.

    Reply ·· 13 hours ago
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  Julius Gueye

  Wahooo! Merci pour ces quelques lignes éclairantes. Il y avait un écran de fumée rendant illisible la vie de cet homme. On en sait un peu plus grâce à vous.

  Reply ·· January 17 at 11:38am
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  Dearchange Archange Romeo · Lomé, Maritime, Togo

  j'en suis personnellement edifié et je vous remercie pour votre effort de ramener tout vrai ivoirien a la lumière. merci encor haut les coeurs.

  Reply ·· Saturday at 5:20am